La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Deux jeunes femmes amoureuses au cœur de Guatemala City. La violence est-elle la seule réponse au traumatisme qu'elles ont subi ? Tourner un film en Amérique Centrale demande du courage, qui plus est de nuit, dans des endroits dangereux. La réalisatrice guatémaltèque Camila Urutia n'a pas eu peur, pour son premier long-métrage, d'aborder la question du machisme dans un pays gangrené par la violence, quelques années après la fin de la guerre civile. Le film est âpre, rempli d'ellipses pas toujours heureuses, mais son énergie est réelle et sa progression dramatique presque aboutie. Mais c'est le portrait de ses deux héroïnes, lesbiennes, qui impressionne par sa puissance, même s'il y manque peut-être un contexte social et familial plus affirmé. Un premier film prometteur, en tous cas, malgré un manque de moyens évident.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Films inédits en salles à voir (ou pas)
Créée
le 17 juil. 2022
Critique lue 14 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
71 j'aime
13