Le plus gros souci de l’œuvre de Kōyama vient de la particularité principale de cette race de clebs. Si vous avez eu la curiosité de cliquer sur mon premier lien, vous avez pu constater avec horreur que ces chiens-là on la queue totalement retournée, en permanence relevée contre leur dos dans un angle diabolique à 180°. Or, notre ami à quatre pattes est très souvent filmé de dos. Le film de Seijirō Kōyama devient ainsi un véritable témoignage sans faille de l'état de santé du trou de balle de ce chien pendant toute la période qu'a duré le tournage. Et c'est littéralement à nous glacer le sang, car dieu sait que cet animal gourmand n'a pas toujours eu une digestion idyllique, peut-être trop gavé par les techniciens et les autres acteurs en présence, ravis de lui faire plaisir et ignorant l'effroyable conséquence de leurs actes. Si la loyauté du chien est irréprochable, sa propreté l'est nettement moins...lire la critique entière ici.