Halloween Kills décide d'exprimer sa redoutable connerie en flirtant avec une touchette d'absurdité que je peux comprendre aux vues de la tendance actuelle, mais qui de ma perspective singe absolument un propos abordé sérieusement le film d'avant, en résulte un imbroglio informe qui n'arrive jamais à se positionner, des personnages secondaires grotesques et des situations à rallonge insupportables, qui m'ont fait m'y reprendre à 3 fois pour le terminer.
Un poil dommage en définitive, car les 5 dernières minutes annoncent un parti pris intéressant, dont je n'ai compris foncièrement l'idée qu'après la vision du film suivant, mais globalement c'est bien trop miteux pour y trouver des raisons.