Souffrant du syndrome de la page blanche, un écrivain se remémore des réminiscences accompagnées des personnages de ses romans fortement inspirés de personnes réelles.
Plus qu’une réflexion intéressante sur le couple ou la mort, c’est une sublime auto-psychanalise voire une introspection cathartique qui nous est offerte. D’excellents dialogues de qualité sont encore une fois présents. Les films où le réalisateur est également interprète sont particulièrement savoureux. Néanmoins, Woody Allen nous a tant habitués à un certain standing qu’on ne peut s’empêcher de se montrer exigeant.