Le 11 juillet 2007, l’adaptation cinématographique d’Harry Potter de J.K Rowlling sortie dans les salles obscurs française. Après, le refus de Mike Newell (Harry Potter et la coupe de feu), la saga, eu droit à un quatrième réalisateur : David Yates.Ce dernier qui avait la lourde tâche d’adapter le plus long roman de la saga. En ferra le film le plus cours avec seulement 2h18 au compteur. Source d’incompréhension, au vu de la matière qu’il y avait à travailler; il m’est toujours difficile de comprendre pourquoi l’adaptation obtenue ce résultat. Du coup, comme beaucoup d’autres fanatique de la saga, à chaque fois qu’il était question d’Harry Potter et l’ordre du phœnix, j’étais dans la comparaison entre le roman du même nom avec ces 1000 pages décomposé en 38 chapitres.Mais à quoi bon faire une énième critique parlant de la même chose ? Cela serais redondant et peu instructif. Cependant, pourquoi pas garder cette thématique de la comparaison. Mais de l’utiliser plutôt avec les quatre films Harry Potter qui l’ont précédé. Sans pour autant parler de la vision des différents réalisateurs. Qui serais trop long et peux intéressant puisque je ne suis pas assez calé sur la construction d’un film.De plus, j’ai remarqué une certaine opposition entre celui-ci et ces prédécesseurs. Que je trouve moins nuancé. Jonglant de moins en moins entre le bien et le mal qui existe dans cet univers magique. Afin de mettre en avant une facette moins séduisante de la magie. Mais rendons à César ce qui est à César. Cette altération de la saga à vue le jour en 2004, avec Harry Potter et le prisonnier d’azkaban.Mais, ici, la chose est plus accentuée puisque le cinquième épisode s’émancipe des touches d’humours dont nous avons eu l’habitude ; ne laissant uniquement de maigres miettes. Au profit d’une mise en avant évidente d’un régime politique totalitarisme. Apportant, un visage bien moins séduisant à l’univers magique d’Harry Potter. Cédant ça place à une certaine laideur facilement constatable tout au long du film. Touchant différents aspects de l’univers :
Les créatures fantastiques : depuis le premier film, nous sommes accoutumés à l’introduction d’une créature fantastique. Chouette messagère, phœnix, hippogriffe, dragon ect …Grosses ou petites, ces bestioles renvois toutes à l’émerveillement.Tandis que le cinquième film nous introduit une créature lier à la mort… Des sombrals. Une espèce de pégase noir à la morphologie squelettique et aveugle. Se nourrissant, exclusivement de viande crue ; ils ne sont uniquement visibles pars tout individus ayant vue la mort en face. On ne peut pas dire que cela soit très « youhou, c’est beau ». À moins que tu sois un Hagrid ou un scalander et trouverais une quelconque mignonnerie à ça.
Les objets magiques : les balais volants qui est forcément associés au quidditch (le hand des sorciers). Bien qu’il soit facilement imaginable qu’être à califourchon sur un balai soit très désagréable. Cela renvoie à l’imaginaire de pouvoir voler dans les airs, mais aussi de participer à une compétition sportive. Alors qu’ici, les balais sont utilisés comme moyen de transport pour… Une escorte d’aurors (une sorte de GIGN magique) et d’un ado semi-magique (sang-mêlé). La plume d'Ombrage: cette plume est utilisée lors de session de copie de ligne. Mais contrairement à une plume classique, celle-ci n’a pas besoin d’encre. Puisque le sang du porteur fait office d’encre. Pas très glorieux comme objet magique. Au point que le professeur Macgomagal considère cette méthode de punition comme étant moyenâgeuse. Qui aurais cru que même les plumes d’écritures ont aussi leurs facettes maléfiques.
Les personnages :
Le Tournois des Trois Sorciers à changé Harry. Peut-être même de manière radicale, car elle l'a poussé à abandonner sa quiétude d’adolescent pour tout faire pour survivre lorsqu’un événement ou la mort l’attend à tout instant. Un aspect qui pousse le jeune Harry Potter à prendre en maturité. Par nécessité où pars choix ? C’est une question difficile à répondre. Car le spectateur n’a pas toutes les informations pour avoir un avis tranché. Pour cela, il faudrait s’attarder sur le roman du même nom. Cependant, il ne faut admettre qu’Harry à bien changer. Le petit garçon rêveur, cherchant sa place dans le monde magique n’est plus. Désormais, c’est un jeune homme qui a appris la dure réalité de la vie. La mort peut frapper à chaque instant. Devenant un meneur, il apprend et prépare ces camarades à combattre les forces du mal.
Ron : le film lui le rend inutile. Il aurait été remplacé pars une plante que cela n'aurait rien changée. Il sert juste de comique de service. C’est triste vue l’importance qu’il a avec le roman du même nom. Mais il a quand même un aspect positif. Soutenir sont meilleur amis même quand tout le monde est contre lui.
Hermione : au début, c’est un peu déroutant de la voir enfreindre le règlement pour s’opposer à Ombrage. Elle qui est si studieuse. Cela fait du bien que le personnage évolue, est, ne reste pas une insupportable miss, je sais tout.
Cho : cette élève de Serdaigle à était le premier amour d’Harry. Perdu entre ses sentiments pour lui et pour Cédric Diggory. C’est une élève perdue qui doit aussi faire face à la menace que pèse Ombrage pour ses parents qui travaillent au ministère si elle n’a pas un comportement exemplaire. À l’écran, je trouve cela très dommage qu’elle soit si anecdotique. J’avoue avoir un véritable coup de cœur pour l’actrice Katie Leung.
Ombrage : la remplaçante au poste professeur de défense contre les forces du mal est un personnage détestable au possible. Voir plus détestable que Voldemort selon les dires de certains. Elle a été envoyée à Poudlard pour le ministère afin de garder un œil sur Dumbledore et Harry Potter. Ayant pour consigne de ne pas faire pratiquer la magie pendant ces cours. Afin de rendre moins tangible la rumeur du retour de Voldemort. Que cela soit son comportement, ou elle assume de détester les enfants ; ces lois absurdes qu’elle met en place ou tout simplement ces expressions faciales ; nous adorons la détester. Possible grâce à une incroyable interprétation de Imelda Staunton.
Dumbledore : quand nous voyons ce Dumbledore lors de la cinquième année d’Harry; celui des premières années nous parait bien loin. Car il a un ton beaucoup plus dur; l’impression d’une aura de puissance émane de e lui à chaque apparition à l’écran. Fini, le directeur gaga qui prend tout à la légère. Il prend enfin les choses au sérieux et passe à l’action.
Voldemort : sa réputation de mage noir excrément puissant à toujours était fait part des paroles d’autrui. Même quand il était présent, il n’était que l’ombre de lui-même, un souvenir. Un aspect qui aurait pus changer quand il a ressuscité. Mais non, il n'a rien montré d’extraordinaire. Au contraire de la bataille du ministère contre Dumbledore. Ou il a montré d’incroyables capacités magiques. Qui a fait honneur à sa réputation.
Il m'est difficile de pas de faire de comparaison avec le livre dans j'aime le re lire. Mais bon en toute franchise, il n'étais pas possible d'adapter un si gros roman dans un film de moins de 3 heures. Puis ce n'est pas un roman ou y a beaucoup d'action. Il y a surtout un aspect politique qui est mise en avant. Il fallait faire des choix. Pour le coup, c'est parfaitement assumer. Les principaux éléments sont présents. Après oui, il aurait dû s'attarder d'avantage sur le département des mystère et la lutte contre Ombrage. Mais franchement aises vraiment un drame de ne pas avoir mis de quidditch. Je ne panse pas. Malgré tout, je garde un très bon souvenir du film et je n'hésite pas à le revoir régulièrement.