Le grand départ : nouveau réalisateur aux commandes.
En résulte le volet le plus audacieux de la saga, car contrairement à l'Ecole des Sorciers et la Chambre des Secrets, il ne s'agit pas ici de suivre le livre à la lettre, mais de créer une expérience cinématographique, ce que Chris Colombus n'avait pas réussi.
Le Prisonnier d'Azkaban n'est pas une copie conforme du livre, l'univers cinématographique s'émancipe ici de ses contraintes littéraires et ose davantage, faisant jaser les puristes.
John Williams est aussi sorti de son format diptyque, puisque la bande-son a peu de choses à voir avec les deux premières.
Le film est de toute beauté, et je regrette toujours qu'Alfonso Cuaron ne soit pas revenu pour les autres volets de la saga, car j'apprécie énormément sa vision de l'univers.