John et sa fiancée ont enfin réussi à rassembler les 30 000 dollars qui vont leur permettre de s'installer. Sauf que sa sœur lui rappelle une promesse qu'il avait faite à sa nièce, lui payer ses études si elle était acceptée à Harvard. Et il est l'heure de montrer qu'il est un gentil tonton. Aidé des mauvais conseils de son ami un peu barge, John va tenter de résoudre son dilemme en recourant à quelques activités illégales qui vont évidemment se retourner contre lui.
Même si j'avoue avoir souri à quelques gags, Stealing Harvard fait partie des nombreuses comédies américaines que j’ai vu et qui se sont révélées assez dispensables. Comme tant d’autres qui ne me laisseront pas un grand souvenir au fil des ans.
J'apprécie toujours autant de revoir Jason Lee en dehors de films de Kevin Smith et sans la moustache qu'il a dans la série Earl (mais en fait il la porte si bien cette moustache, on devrait lui rajouter numériquement dans ses autres films). Tom Green est, pour une fois, convaincant dans son rôle d'allumé. Et le reste du casting est assez bon.
Mais bof. Les quelques éclats de rire qui en ressortent sont bien trop rares et espacés. L’histoire se suit sans grand intérêt. Mollement attendrissant et mollement drôle, le film peine tout le long.