J'aime beaucoup le format 52 minutes d'Arte pour les documentaires musicaux car ça permet de retracer de façon synthétique la carrière d'un artiste, la création d'un album ou bien la naissance d'un genre.
Ici, avec la NWOBHM, on a droit au précieux témoignages d'artistes majeurs de cette période. De Diamond Head à Girlschool en passant par Saxon et Iron Maiden, on navigue de groupe en groupe de façon chronologique et on comprend assez simplement comment cette scène a pu voir le jour.
L'angle principal du documentaire est défini très rapidement : on s'arrêtera sur l'adoubement de cette nouvelle vague par Metallica et leur reprise de Am I Evil. Ainsi, on sait où on va, c'est très accessible et on a envie de réécouter et de découvrir des disques issus de cette période.