Bon, si je n'ai pas tout à fait compris encore où se situe la notion de plaisir (en tout cas, en dehors de toute notion sado-maso), on saisie bien en tout cas ce qui relève de la notion de douleur !! Finalement Pinehead et ses collègues ont un rôle qui n'intervient pas tout de suite et sert de vecteur pour laisser exprimer la relation entre Franck et Julia qui relève d'une sorte d'addiction où l'un a autant besoin de l'autre, l'un pour vivre, l'autre pour vivre émotionnellement, relation qui mène à commettre le pire. Il est également intéressant de voir que les femmes ne sont pas complètement réduites à l'état de victime comme dans beaucoup de films et je soupçonne même un militantisme subtile pour la libération de la femme (du au fait également d'un dialogue entre le père et la fille).
Complétant ce tableau, un visuel sanglant évoquant plus la douleur que la violence, mais plutôt efficace.