Dans la dernière tambouille puante de Spike Jonze, on se demande ce qui est le plus abject. Est-ce la débilité du scénario, réactionnaire et autiste, qui surenchérit encore dans l'abomination racoleuse par rapport à la précédente bouse informe qu'il nous avait infligée ? Est-ce la mise en scène obscène de Spike Jonze, tétraplégique et pédophilisante, comme d'habitude, qui renifle à des kilomètres son idéologie nazie ? Sont-ce les acteurs minables, tous amis de BHL, qui pataugent dans la coprolalie de cours de récré ? On renonce à savoir et on s'en fout. Il y a longtemps qu'on a compris que SJ n'est pas un cinéaste mais un papier tue-mouches gluant de morve qui attrape toutes les déjections de son époque. On ne peut que plaindre sa femme et ses enfants (et ses spectateurs) qui mériteraient d'être libérés une fois pour toutes d'une telle nuisible enflure. Hélas, le courage de débarrasser la planète d'un monstrueuse erreur génétique comme SJ se fait rare au pays des lâches. Ce ne sont ni Hitler ni son ami Joaquin Phoenix qui s'en plaindront.