Les ultimes convulsions d’une coquille de noix vivant ses derniers suintements dans un cosmos en demi-teinte dont les rares apparitions ne sont que les timides parcelles d’un environnement presque anonyme.
Peu d’étoiles à la disposition de quelques ressources bien souvent atrophiées condamnées à disparaitre assurant le temps de leur présence l’endormissement ou l’intensité d’un habitacle perturbé par son isolement.
Des vibrations diverses se déployant au coup par coup dans une cocotte-minute soporifique au verbe rare vivant pleinement la lucidité, le délire ou l’automatisme de ses ressentis en fonction de leurs apparitions du moment.
Du geste le plus tendre à la violence la plus explosive, en passant par le fantasme en catimini à l’intérieur d’une morne plaine voguant vers un orgasme lumineux dont l’éclat final devient l’égal d’une révélation.