EARTH QUAKE au travers des chairs et BAM , coup de phalanges dans la gueule. Fringues larges sur des silhouettes un peu trop minces, cris de rage pour les crabes sans pinces, la Girl est mordue et de son sourire se revigore, irresponsables adultes infantilisés, énergiques, esclaves de corps drogués à la vie à la Mort, pour lui, elle plonge sans réfléchir, guidée par le désir.. Vivre pour que l'autre respire, l'humanité a trouvé ses modèles, nés au coeur de ce microcosme bâtit dans la fougue, filmé avec brio, les sens s'agitent et palpitent, la poignée de personnages se suffisant à elle même évolue comme bon lui semble, avec ses torts et ses éclats.. L'échine trempée d'un fantôme aux yeux tristes s'ébroue dans un coin de ma tête, résigné, semblant ne jamais vouloir sombrer - Les poches remplies de cailloux pour autant de symboles, les mains caressent les mâchoires, le souffle court, coupés du monde PORTRAIT détonnant d'un peuple que rien ne brise, pas même la mort d'un enfant.