Replongée nostalgique en 1977, avec son rythme un peu lent quand on est habitué au speed et à la double voire triple pensée actuelle, ses intrigues presque naïves, et joie de retrouver un énergique Kirk Douglas qui, à la soixantaine passée, savait encore montrer son corps et son c. dignement sculptés.
Sur un scénario dans la lignée de La malédiction, on a ici un des premiers réquisitoires écologistes, décriés à l’époque par quelques doux-dingues marginaux, une poignée de fumeurs un peu déjantés, des groupuscules un peu louches pour les masses, et perçus négligemment par les pouvoirs.
Pour une star c’était un risque de discrédit parfaitement évitable de s’engager dans le sujet de la pollution et du nucléaire, pourtant précurseur du principal danger actuel de la planète.