HOLY MOTOR, le retour en grâce d'un Leos Carax qui ne succombe pas au sirène du box office. Film glam' à souhait et fascinant, dont les multiples niveaux de lecture pourraient facilement supporter une deuxième lecture (voir plus), cette vue cachée d'un monde féérique que seul Carax a pu fabriquer laisse un goût de nostalgie et de réflexion. Celui de voir qu'avec Noé, c'est l'un des seuls réalisateurs fantasques d'un cinéma français un peu trop sage. 3, 12, merde.
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