Shia LaBeouf incarne logiquement son propre père dans ce film autobiographique et cathartique où la star, marionnette hollywoodienne, tend la main à l'enfant-star, marionnette paternelle.
Au delà de la performance sensible invraisemblable, on savoure un cinéma sensuel, poétique, rude et nerveux.
Les 400 coups à la Shia laissent présager l’avènement d'un artiste complet qui a su se pardonner de devoir être le parent de son père.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 6 févr. 2020
Critique lue 792 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Honey Boy
(Volutes de remarques désordonnées spoilantes, juste après visionnage du film) "...atrophié, qui ne repose pas sur le sol..." Résumé: De nos jours, un alcoolique fait l'Autruche avec ses problèmes de...
le 21 août 2020
9 j'aime
4
Shia LaBeouf est sans conteste la personnalité hollywoodienne la plus fucked up et la plus curieuse des temps modernes. Superstar de la TV pendant son adolescence, second rôle anecdotique dans de...
le 12 nov. 2020
7 j'aime
Lors d'un accident de voiture en état d'ébriété, un jeune acteur se confie à sa psy sur ses troubles liés à l'enfance, et en particulier à son père alcoolique, violent et drogué... En voyant Honey...
Par
le 27 juil. 2021
2 j'aime
Du même critique
Shia LaBeouf incarne logiquement son propre père dans ce film autobiographique et cathartique où la star, marionnette hollywoodienne, tend la main à l'enfant-star, marionnette paternelle. Au delà de...
le 6 févr. 2020
1 j'aime
On nous offre dans une mise en abyme somptueuse un étonnant patchwork de films de genre. Eliza, qui semble sortie d'un film muet de Chaplin, rencontre la créature du lac noir : une soirée que...
le 28 févr. 2018
C'est une épure, à tous les postes : Des cadres fixes que parcoure la silhouette de cowboy décharné d'Harry Dean Stanton. Des dialogues naturels et des punchlines irrésistibles. Un montage au...
le 8 févr. 2018
