Ah Allison Williams...
Oui, je sais, j'en ai déjà beaucoup dit sur toi dans ma critique de Get Out, mais je ne peux pas, je ne peux pas m'en empêcher...
Allison Williams, ce que tu peux être belle... Ah, ce que tu peux être belle ! Et pardonne la pauvreté de mon vocabulaire, les dictionnaires de synonymes me fuient. Je crois qu'ils ne peuvent supporter ta magnificence.
Sainte-Mère de la création, comment n'ai-je pas pu découvrir ta perfection plus tôt ? Pourquoi a-t-il fallu un film comme The Perfection pour que je sache à quel point tu es parfaite ? C'était peut-être toi que le titre désignait après tout. Non, c'est certain. En d'autres circonstances j'aurais gerbé à l'idée de le faire, mais je veux bien le revoir juste pour toi.
Ah, Allison Williams, ce regard que tu as... Ton regard, qui fait ta force et qui illumine tout ce qui t'entoure ! Ah, cette force dans ce regard ! Ah, cette pureté, cette limpidité dans ce regard ! Un peu comme l'océan que tu survoles pendant une heure, oui, ton regard est comme ça : immense, intense, mystérieux et merveilleusement bleu. Ce regard qui est si puissant et lumineux qu'il rend tout plus beau, même si à la base c'était moyen ! Oui, Horizon Line était pas terrible, mais tu es au-dessus de ça, tu vaux mieux que ça, et puisque c'est le cas ça prouve que tu es d'une humilité incomparable. Continue, fais encore des films modestes sans grandes prétentions, ils ne peuvent que te rendre plus sublime et plus rare.
Continue à inspirer le pauvre critique que je suis.
Et sinon le film il avait quelques longueurs au début et une belle collection d'incohérences, mais dans l'ensemble il se laissait regarder.
Comment ça je suis pas objectif ? Tu veux qu'on reparle de Joker ?