Satire politique d'un monde communiste s'ouvrant à peine sur l'occident. L'un anxiogène, sombre, nauséeux, putride, mécanique et absurde, surréaliste, l'autre tout aussi déprimant par artificialité, d'une apparence lumineuse, acidulée, moderne, oisive, artificiel. Un personnage appartenant au premier, ne cesse de passer de l'un à l'autre, une simple porte les séparant. Episode introductif symbolique se déroulant auprès d'autochtones aux visages identiques, protégeant leur regard de leur main tandis qu'une entité lumineuse aveuglante surgit par le biais d'une porte s'ouvrant. Un intrus parmi eux ne résiste pas à la tentation d'entrouvrir les doigt pour observer.
Rq: Quelques longueurs et répétions superflues. 6,5/10