Under the skins
Profitant d’une sublime bande originale punk et krautrock, How to talk to girls at parties s’avère être un mélange peroxydé entre la romance SF et le feel good movie musical. Un peu inégal, pas aussi...
Par
le 22 juin 2018
34 j'aime
Je n'étais jusqu'ici pas très client des excentricités selon moi un peu factices de John Cameron Mitchell, c'est donc avec un certain espoir mais non sans crainte que je me suis rendu à la projection du dernier essai du natif d'El Paso.
Et là oui, ça l'a fait, ce truc délicieusement régressif et naïf m'a fait quitter notre triste monde durant 102 minutes, me permettant de retrouver une planète qui me réconforte, celle où s'éclatent John Waters, Bertrand Mandico, Yann Gonzalez, Gregg Araki qui aurait fait l'amour avec "SuperGrave".
C'est kitsch à souhait, totalement décontracté du slip, Nicole Kidman est toujours aussi transparente, même quand elle se prend un biiiiiiiip dans le biiiiiiip, Elle Fanning est juste ..., et le tout, sous ses aspects délirants, est finalement terriblement romantique et mélancolique.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Le Biactol, ça fait péter les neurones, J'aime les bobos... Oups pardon les BO, Eh bien chantez maintenant..., Je te jure, j'ai vu un OFNI et Coucou les vicieux, c'est par ici !!!!
Créée
le 28 juin 2018
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