Under the skins
Profitant d’une sublime bande originale punk et krautrock, How to talk to girls at parties s’avère être un mélange peroxydé entre la romance SF et le feel good movie musical. Un peu inégal, pas aussi...
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le 22 juin 2018
34 j'aime
.."c'est surement des Californiens"
Série très absurde de remarques en gros gros désordre (comme celui des fous du film...):
Je sors de mes brouillons mon torchon. Si vous voulez un meilleur texte, je vous conseille de lire ce texte d'un "Félix Lemaitre" (aucune idée de qui il est ) reporter notamment envoyé à la projection d''Alien Crystal Palace'.
......avec photos de la faune locale rappelant celle que rencontre nos ados dans ce film.
"Ce film n'a pas de style, ça va dans tous les sens" (osa dire mon Michel Ciment à sa sortie)
"C'est vieillot' (confirmera avec son courage habituel Jérôme Garcin) "C'est du John Waters" ( Nicolas Schaller dans L'Obs..."pour moi, un compliment" (Pierreamo))
..."certes délirant mais moins foutraque qu'il n'en a l'air...certes un peu Maelstrom gothico-mystico vintage et SF mais une belle histoire d'amour très drôle ...on parle de 3 ados dans la mouvance punk découvrant l'amour et les filles qui sont pour eux des terres étrangères, des extraterrestres, un monde inconnu ...et l'amour est une planète inconnue...tout le reste célèbre la contre culture, les minorités, la marge...(Charlotte Lipinska de Vanity Fair)"]7
1er Résumé: 3 ados en 1977 dans banlieue de Londres cherchent des filles et après un concert de groupes punk, ils s'invitent à une fête d'artistes déjanté(e)s.
Au départ, un teen movie classique,
Un film qui m'a rappelé des visites à la Biennale d'Art contemporain de Lyon avec entre autres, des chapeaux de cowboys en paille bien sûr plein d'urine, posés sur une chaise en paille et autres fascinantes découvertes.
Quand les ados arrivent ici à la fête, ils tombent sur des hommes et femmes en costume ras le corps en latex portant une sculpture en papier en forme d'anus et de vagin qu'ils caressent tout en dansant…bien sûr. Ce pourrait être un happening lors d'une Biennale d'Art contemporain.
Même leurs talons aiguilles semble un plug anal (ne croyez pas que j'obsède ou projette mes fantasmes).
_"Punk is really the greatest thing that happened to ugly people" m'a fait éclater de rire..."la mode punk est la meilleure chose qui soit arrivée aux gens moches".
2nd Résumé: En 1977, un quartier Anglais tout simple est visité par un groupe d'extra terrestres comme dans le film 'Attack the block' sauf que ceux-là ont pris formes humaines, celles d'artistes.
Dans le même quartier, trois jeunes adolescents locaux (blokes ) veulent apprendre à parler aux filles dans les fêtes ('parties').
Ces deux groupes vont se rencontrer pour notre plus grand plaisir.
Les ados sont passionnées par le punk.
L'un d'eux, Enn est dessinateur de comics et fanzines.
Zan est une des jeunes extra terrestre et elle en a marre des safaris que ses semblable et elles font sur les planètes: elle veut faire du tourisme inclusif.
Enn et Zan s'aiment. Leur groupe d'origine désapprouve.
Virys boy: le punk comme virus contre la normalité, la normalisation
_"Enough with that hippie shit" m'a fait éclater de rire
dit par la mentor punk quand elle voit qu'ils s'embrassent et se donnent des conseils pour se motiver à chanter: "sing about what you know" dit Zan à Enn.
'Quand les touristes de l'espace viendront, ils vont même explorer ton colon! ...de vrais proctologues en terres inconnues
sur Eat me alive song' ( l'ado blond découvre la jouissance de l'oeil anal...les colons de la colonie lui font découvrir son colon en l'explorant...le blond ressemble à Joe Strummer )
"Your penis is small and folded, like the button of a tiny pink flower"
Oh! it's losing its structure (il a un t shirt avec doigt dans le
nez) "ton penis est minuscule et flétri comme le bourgeon d'une
petite fleur rose; oh! il change de forme"
...et là, bien sûr, elle pose sa tête sur son pénis et ramène sa jambe à elle et caresse le nez du jeune homme avec son gros doigt de pied…
bien sûr
"Every breath is an original" is the motto of my group
I've been many things, even a star
I once harmonised with a Brown dwarf" me rappelle le dialogue final de Roy Batty/Rutger Hauer dans Blade Runner.
"A gipsy gave a lemon tree…
eee haaa the plaines... your mother has a clitoris: look it up too"
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Films avec chiens, Regards caméras: les vrais, ceux où les acteurs nous regardent vraiment et même nous parlent; le "quatrième mur", des feux d' artifice au ciné!, Films utilisant des photos dans sa narration et Films d' acteurs,d' actrices (des réalis-acteurs) " Les acteurs réalisateurs "
Créée
le 22 août 2024
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