Bon bah voilà...

Hunger Games : L'Embrasement est tiré du deuxième tome (sans blague !!!) de Suzanne Collins. J'ai lu le livre, ainsi que le tome 1 avant le tome 2, puis le tome 2 avant le tome 3. Ce qui en gros veut aussi dire que j'ai lu le tome 1 avant le tome 3. Amazing...

Passons ! Avant de commencer cette critique je dois vous expliquer quelques trucs :
Depuis Hunger Games 1 (film), Jennifer Lawrence est mienne. J'ai vu tous ses films à part "Not Another High School Show", "The Poker House", "Le Complexe du Castor", "Loin de la Terre Brûlée", "Garden Party", "Drillbit Taylor : garde du corps", "Winter's Bone" (là par contre j'ai honte...), "Like Crazy" et "La Maison au bout de la Rue".
Pour preuve que je ne suis pas le seul amoureux de la fausse brune, Jennifer a encore 11 projets de films d'ici 2016 (et c'est loin d'être finie).

Passons ! Je dirais que je m'en care de l'histoire d'amour... (Voilà la phrase pour ne rien dire, c'est juste pour donner un peu d’ampleur à cette critique parce que les petites critiques n'ont jamais de j'aime alors je suis triste. Pourquoi je vous dis ça moi ? Je parle pour rien dire franchement...)

Bref, sur le film (on y arrive enfin !)
Jennifer Lawrence défile telle Miss Panem devant chaque district avec une belle petite robe en soie, en fibres artificielles, en laine, en poil de chien, en maillot de bain... (NUL !) Cette première partie peut paraître inintéressante alors qu’enfaîtes se cache derrière toute une technique cinématographique particulière que je ne dévoilerais pas... (NIAF NIAF NIAF NIAF NIAF !!!!) Une fois ça compris, l'ennui est infinitésimal.
La seconde partie est exaltante. Philip Seymour Hoffman inféode sa magnifique, ingénieuse et extraordinaire arène aux quelques 24 tribus. Je ne dirais rien de plus la dessus, je vous laisse découvrir. Attention, scènes lacrymogènes !

Il est vrai que ce n'est que quelques lignes seulement sur le film. Mais il est tellement mieux de le découvrir. Ma note parle d'elle-même.
Je vous souhaite un agréable film, assuré par ses effets spéciaux, ses émotions ainsi que ses acteurs.

Petite Critique signé Gollum.