Trois femmes, habitant la même rue, trois portraits pour un même thème : les désagréments que provoquent le manque de communication et une vision différente des choses obligeant à des compromis voire à un mal être. Le premier film du réalisateur et scénariste norvégien a contre lui un côté didactique et une surabondance de dialogues. Mais il a bien des qualités, notamment une véritable unité même s'il raconte trois histoires consécutives, dans le monde du travail ou dans les relations familiales. La justesse de ses actrices, son aspect naturaliste et sa subtilité narrative, littéraire même, y sont pour beaucoup.

Cinephile-doux
7
Écrit par

Créée

le 25 mai 2018

Critique lue 114 fois

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 114 fois

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

72 j'aime

13