I, Frankenstein par cityhunternicky
I Frankenstein, nous raconte comment la créature de Frankenstein va combattre les démons.
Allez, hop, direct : I Frankenstein, c’est de la merde. Avec ce genre de pitch, tout ce qu’on peut en penser c’est que les studios se sont dits : quitte ou double. Forcément ça pue et j’aurai même du mal à parler de gachis, tant je ne considère pas les histoires tournées autour de la créature de Frankenstein comme intéressantes. Le scénario fait immédiatement penser à un underworld un peu modifié, opposant deux types de créatures fantastiques et au milieu on trouve une créature différente, qui va forcément sauver le monde,
Donc bon, l’ennui est immédiat, le scénario prévisible et les scènes d’actions habituellement tristes. Oui, toujours l’effet parkinson, toujours des champs contre-champs pour ne pas avoir à expliquer que les chorégraphies sont nulles et pas adaptées aux acteurs. Bref vous connaissez la chanson et j’aurai espéré que les effets spéciaux compensent un peu, mais rien de bien fou n’en sort et ça aura vieilli bien trop vite.
Bon, comme pour Homefront (et tant d’autres), le casting et la promesse d’action sont là pour attirer les adolescents et le public pas trop regardant. Mouais. Même si je regarde Yvonne Strahovski avec un oeil attendri par ses autres prestations, je peux pas dire qu’elle fasse des étincelles avec Aaron Eckhart ou Bill Nighy. Comme d’habitude, un beau casting n’est pas forcément le reflet d’un film non chiant.
Pour conclure, le scénario est ultra basique et les auteurs l’ont complexifié par des références et des questions existentielles, sans succès.