Des vampires qui se baladent au soleil à l'aide de lunettes noires, des accessoires qui apparaissent comme par enchantement, des monstres maudits qui invoquent le paradis ("vous ne l'emporterez pas au paradis !" ce sont les derniers mots d'un vampire, quand même) et j'en passe.
Rien dans l'écriture ne vient sauver ce long métrage, achevé par une bande son dispensable, une réalisation digne d'une série pour enfant ou encore par des acteurs en roue libre. De jeunes gens avec des accessoires en plastique et une caméra n'auraient pas fait mieux dans leur jardin.