La Galice jusqu'à l'hallali
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Orpheline, Anya est désormais maître-assistante à l'université. Faussement accusée de trafic de drogue, elle trouve refuge dans un centre pour mineures où elle rencontre une adolescente de 13 ans qu'elle va suivre jusqu'au Kazakhstan. Ilmar Raag, réalisateur estonien désormais bien connu des cinéphiles (Klass, Une estonienne à Paris, Kertu), tourne ici son premier film en langue russe sur un scénario, là aussi c'est une nouveauté, qu'il n'a pas écrit. Un road movie à travers la Russie de deux filles sans parents, toutes les deux en recherche d'amour et de chaleur, bien que d'un âge et d'aspiration différentes. S'il ne creuse pas très profond dans la psychologie de ses héroïnes, Raag compense par la délicatesse de sa mise en scène et une direction d'acteurs impeccable. Il ne choisit pas vraiment entre poésie et réalisme et son film reste entre deux eaux. Mais ses scènes finales sont bouleversantes.
Créée
le 16 janv. 2018
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