Le feu dans les armes, la braise dans les regards.

Une gare déserte dans le Grand Ouest. Trois hommes, vêtus de longues vestes et coiffés de chapeaux à larges bords, patientent, leurs quête, abbatre un homme qui doit arriver à cette gare . l'homme à abattre arriveet de ses quelques notes d'harmonica, d'une phrase et de coups de feu les terrassent. Cet homme sans nom surnommé "Harmonica" son instrument de prédilection. Celui-ci part à la recherche de Frank, un redoutable tueur à gages qui a autrefois fait pendre son frère sous ses yeux.

Frank est pour l'heure à la solde de Morton, directeur d'une compagnie de chemin de fer qui essaie de rejoindre le Pacifique. Il a demandé à Frank d'intimider le propriètaire d'un terrain qui pourrait lui rapporter gros. Mais Frank, plus radical, a massacré toute la famille dont le père, veuf, s'appretait à épouser Jill, une prostituée de la Nouvelle-Orléans. Celle-ci, en fait déjà mariée en secret, s'incruste, essaie de comprendre d'où venait la richesse dont son mari l'avait assuré.

Tout d'abord les deux rôles principaux sont sans doutes les plus incroyables que vous pourrez trouver dans un western, leurs charismes explose à l'écran, leurs regards nous transperce, et leurs paroles résonnent comme des balles tirées au magnum.
Claudia Cardinale est quand à elle la touche de douceur du film elle apporte une touche féminine, et quelle touche puisque elle nous émeu au plus profond de notre être dés sa première apparition sous le magnifique thème d' Ennio Morricone.

La transition est faite parlons un peu de ce génie, de cet extraterrestre, de ce virtuose qu'est Ennio Morricone, il sublime le film nous pont des thèmes d'anthologie en parfaite adéquation avec le film. Ces thèmes sont d'une puissance absolue, d'une émotion intense et d'une composition divine. Chacun de leurs lancement pendant le film est une nouvelle scène culte, chaque centimètre du thème est culte. Son duo avec Sergio Leone aussi bon soit il n'a sans doute jamais aussi bien marcher que dans ce film.

La réalisation est tout juste pharaonique, la prise des décors, les plans sur les visages , sur le désert sont époustouflants de réalisme et de beauté, la force de ce monsieur c'est qu'il peut nous laisser dix minutes sur le même plan sans musiques, juste avec le bruit du désert et le regard des acteurs inculqué par Sergio Leone.

Quand tout est rassembler pour que le film sois aussi culte qu'incroyable, aussi dur qu'émouvant.
Sergio Leone n'a pas simplement signer une œuvre incroyable, il à signer l’œuvre incroyable, de quelques note d'harmonica, de deux regards de braises, d'un visage merveilleux, d'un thème aussi culte que majestueux, d'un plan divin, le film vous prend, vous fait voyager, ce film est une étoile qui n’explosera jamais car cette étoile fait vivre le cinéma. Merci à vous.