Quinze ans, quinze longue année ont passé pour que Sergio Leone mette en scène "Il était une fois en Amérique". Dernier volet de la trilogie, c'est au beau milieu des années 20 que l'ont est plongé. Ont y suit la vie d'homme pendant quarante ans, Noodles, magnifiquement interprété part Robert De Niro qui signe une performance incroyable, mais plus que sa performance, c'est son personnage qui restera immortalisé à jamais.
Il était une fois en Amérique est une grande fresque, une longue épopée magistralement découper, mis parallèlement entre le présent et le passé.
Fort de 3h40, la durée assez longue passe à une vitesse folle, tout est minutieusement préparé, et chaque période plusn importante les unes que les autres. La première est violente, le film est en plein dans son thème majeur, la mafia, règlement de compte, sang, tout y passe, puis viens l'heure de la nostalgie grâce à un enchaînement dans une gare absolument bluffante. Noodles à pris 20 ans de plus, le maquillage est étonnant, Robert De Niro apparaît tel un homme de 50 ans. Ses yeux humidifé nous porte, puis il se souvient ... et débute la période de son enfance de les ghetto juif de New-York. Période charnière, c'est le commencement de leur truanderie, mais aussi des premiers émoi amoureux, d'envie, de désir sexuel. Il est impossible de ne pas se retrouvé à un moment donné dans une de leur situation. Sergio Leone met l'amitié en avant, et compte sur ce point pour apporté un élément supplémentaire de force part la suite. Ensuite, la prison, et plus rien ne sera jamais pareil, les enfants ont grandit, et les hommes qu'ils sont devenu aussi, place à l'ambition, à la richesse et aux femme. La trahison plane aux dessus de leurs têtes, jusqu'à la dernière partie.
Nous somme ce que l'ont est, la vie nous fait devenir part ce qu'elle nous fait vivre, mais peut importe ce qu'est le présent, le passé reste indélébile, les liens ne meurt jamais dans les souvenirs, et malgré les faits, il est impossible d'oublié certains moment de notre vie. C'est en quelques sorte la philosophie de Il était une fois en Amérique ...
Et c'est dans une douceur monumental que le cinéaste nous montre la force de l'amitié.
La réalisation est parfaite, Robert De Niro y tient ici l'un de ses plus beau rôle, mais Scott Tiler à su offrir à ce personnage une plus grande dimension en jouant Noodles petit. Puis James Woods, complétement envahi en Max, il vie en lui, et signe une très grande performance rendu plus grande grâce à Rusty Jacobs et qu'elle belle suprise de voir pour la première la jeune Jennifer Connelly dans ses tout premier pas au cinéma.
En somme, Il était une fois en Amérique est un très grand film, et pour être cela, il faut aussi une grande musique, et la composition d'Ennio Morriconne est encore plus que ça, le génial compositeur à réussit à se surpassé, et offrir au septième art l'une de ses plus grande bande original. Sa symphonie donne une dimension supplémentaire au film, et résonne, monte jusqu'au sommet lors d'une mort inoubliable, ancré à jamais, elle l'embelli, la rend immortel, nous faisant frissonné, nous rendant nostalgique et nous touchant au plus profond de notre être.
Sergio Leone à réussit une véritable prouesse, de réalisé la référence du genre, un film inégalable, d"une richesse incomenssurable. Musique, couleur, photographie, prise de vue, décors, bref, tout y passe. C'est plus qu'une leçon de cinéma, devant cette oeuvre, il n'y a pas assez de hauteur pour arrivé à elle, c'est un monument, qui, tel Mona Lisa, marquera à jamais nos esprits.
Il était une fois en Amérique signe la fin de la filmographie d'un des plus grand metteut en scène du cinéma, et c'est dans ce chant, cette poésie sur la vie que Sergio Leone signera son ultime film. Un chef d'oeuvre mélancolique.