Arnold Strong.
Longtemps attendues, les mémoires de Arnold Schwarzenegger laissent au bout du compte un sentiment mitigé. Sa vie nous est narrée, de son enfance dans un village modeste en Autriche, en passant par...
Par
le 11 nov. 2012
44 j'aime
3
Voir le film
Un ingénieur se voit proposer le boulot de ses rêves en travaillant en tant que tel dans les mines d'un pays d'Afrique noire. Seulement, son épouse refuse de quitter l'Italie, et elle va donc rester sur place, avec une des dernières discussions où elle refuse pour le moment d'avoir des enfants. Cet homme, nommé Giorgio, va demander à un proche de la surveiller durant tout le temps où il va s'absenter, deux ans quand même.
Ça se faisait beaucoup avec les films où jouait Elvis Presley, Johnny Halliday à ses débuts ou Eddie Constantine, ceux-ci poussaient la chansonnette en cours d'histoire, pour attirer non seulement le public, mais aussi vendre des disques. C'est également le cas dans Il ragazzo che sorride, où Giorgio est joué par un chanteur très connu en Italie, Al Bano, et il sera accompagné plus tard par une autre personne qui porte la voix à savoir Rocky Roberts, qui joue un mineur portant sans arrêt des lunettes de soleil. Ce qui n'est guère crédible quand passe son temps dans les grottes mais passons...
Même si c'est une comédie, portée par les facéties de Nino Taranto, assez drôle en tant que propriétaire d'un magasin qui apprend en même temps que sa femme va avoir des jumeaux alors qu'il a déjà 50 ans, ça parle aussi en fond du rôle de la femme en tant que mère. Car si on apprend que l'épouse jouée par Susanna Martinková ne veut pas partir, ça n'est pas vraiment par manque d'intérêt, mais parce qu'elle ne peut avoir d'enfants, et donc a peur de se faire rejeter par son mari. Sauf miracle de la science... Quant au titre, il a sa justification en toute fin d'histoire, avec ce petit garçon de couleur noire qui joue le fils de Rocky Roberts.
Au final, même si les chansons font saigner les oreilles et que la mise en scène est d'une grande platitude (en plus d'être au format carré), ça reste de la romance à l'eau de rose qui se tient,même si mineur (humour) malgré tout.
Créée
le 4 oct. 2021
Critique lue 192 fois
3 j'aime
4 commentaires
Du même critique
Longtemps attendues, les mémoires de Arnold Schwarzenegger laissent au bout du compte un sentiment mitigé. Sa vie nous est narrée, de son enfance dans un village modeste en Autriche, en passant par...
Par
le 11 nov. 2012
44 j'aime
3
(Près de) cinquante ans après les évènements du premier Massacre à la tronçonneuse, des jeunes influenceurs reviennent dans la petite ville du Texas qui est désormais considérée comme fantôme afin de...
Par
le 18 févr. 2022
43 j'aime
Ce nouveau film est situé après la victoire contre Majin Buu, et peu avant la naissance de Pan (la précision a son importance), et met en scène le dieu de la destruction, Bils (proche de bière, en...
Par
le 15 sept. 2013
42 j'aime
9