Auschwitz ou les 120 journées de sodome
On est plongé en plein coeur d'un camp de concentration, mais attention on est loin de "La Rafle" car ici le camp se base sur deux choses, des expériences étranges et du sexe .
Ilsa la commandante du camp pratique des expériences poussant des femmes aux limites les plus insoutenable de la douleur, et le soir elle prend un prisonnier pour s'en servir comme objet sexuel .
Tout est prétexte a montrer des pubis et des poitrines, ce qui fait que le film devient vite un film erotico gore.
Je me demande ce qu'on voit le plus dans ce film, des seins ou des croix gammées, c'est dingue le nombre de croix gammées, de portrait d'Himmler ou d'Hitler que l'on peut voir comme si a chaque plans le réalisateur avait décidé de glisser un symbole nazi histoire de te dire "regardes c'est bien un film avec des nazis ne l'oublies pas !!"
Coté scénario ne vous attendez a rien, les dialogues sont risibles mais bon on regarde ce film uniquement dans le but de voir du sang et des seins .
Les personnages aussi sont risibles, a un moment un chef nazi vient visiter le camp et tout est poussé a l’extrême, ils pendent une femme sur la table ou ils mangent, comme divertissement et ça les fait rire comme des fous .
Le chef a des pulsions perverse étrange et montre ses dents dégueulasse pour bien dire "regarde je suis un vilain nazi pas beau qui pu et qui bien dérangé" .
Un pur produit des années 70 kitsch et absurde au point d'en devenir drôle, sympa pour se toucher la nouille pendant 1h30 mais au final n'en attendez pas plus vu la qualité du scénario et de ce qu'il y a autour .