Une histoire trop incohérente pour moi, qui m'a laissé sur le bord de la route. A son crédit, on ne peut lui retirer la violence de ses attaques, et donc de son propos sur le viol. Tout en respectant ses victimes, qui ne sont pas que de la chair à exposer et à déchirer, comme n'importe quel slasher de cette époque. Elles sont des victimes, pas des poupées gonflables.
L'explication finale hautement fumée ne m'a vraiment pas convaincu ; je vous laisse la découvrir par vous-même. Et l'incube est grotesque à souhait, une sorte d'ET vaguement dentée qui ne porte aucune mal en lui, limite on en viendrait à rigoler.
Reste d'excellents acteurs, Casavetes en tête, malsain à souhait en père limite pédophile, dont on devine des pulsions peu avouables pour les toutes jeunes filles. Et ce plaisir simple pour les métalleux de revoir Bruce Dickinson dans sa période Samson interpréter un titre durant une séance du Rocky Horror picture show !