Independence Day est le film de science-fiction de l'année 1996 réalisé par le cinéaste destructeur Roland Emmerich (Stargate, White House Down) également coproducteur et coscénariste avec Dean Devlin (Geostorm).
Ce blockbuster exploseur de box office mondial raconte l'invasion d'extraterrestres venus envahir et détruire notre planète. Face à cette technologie supérieure, la meilleure arme de la race humaine est sa volonté de survivre jusqu'à la bataille finale pour la survie de l'espèce humaine le 4 juillet, le jour de la fête nationale américaine.
Au casting hétéroclite, The Fresh Prince, la star Will Smith (Bad Boys, Diversion) dans son premier film de SF, Bill Pullman (La Folle Histoire de l'espace, American Ultra), Jeff Goldblum (L'Invasion des profanateurs, Jurassic World : Fallen Kingdom), Mary McDonnell (Danse avec les loups, Donnie Darko), Judd Hirsch (À bout de course, Le Casse de Central Park), Brent Spiner (Star Trek, Aviator), Robert Loggia (Scarface, Lost Highway), Randy Quaid (L'Évadé, Gary, le coach à 2 balles !), Vivica A. Fox (Kill Bill, Mercenaries) et le chanteur Harry Connick Jr (Copycat, L'Incroyable Histoire de Winter le dauphin).
C’est ce que j’appelle une rencontre du 3eme type.
Le 2 juillet, un radiotélescope capte des ondes émises par un OVNI démesuré qui s'est immobilisé en orbite terrestre. Peu après, de gigantesques vaisseaux prennent position au-dessus des diverses Capitales mondiales. À Washington, David Levinson, analyste, découvre que le signal capté par le radiotélescope n'est autre qu'un compte à rebours et en informe le Président des États-Unis Thomas J. Whitmore. Ce dernier décide l'évacuation générale, mais il est trop tard : de chacun des vaisseaux surgit un rayon qui détruit instantanément les villes. Le lendemain, ces dernières ne sont que ruines et désolation. Avec le peu de survivants, le Président Whitmore, qui a échappé de justesse à l'attaque, décide d'organiser la riposte. Ainsi, sous les ordres du Capitaine Steven Hiller, l'US Air Force lance une première attaque aérienne massive sur les vaisseaux, mais aussitôt le combat engagé, les pilotes constatent que leur armement ne peut percer le bouclier énergétique qui entoure les navettes ennemies...
Il a fallu que tu te ramènes sur terre pour venir jouer les gros bras. Et puis c’est quoi cette odeur de merde !
Écrivant un scénario aussi simple qu’efficace et une action omniprésente au caractère de bon gros Entertainment avec un casting cinq étoiles, Emmerich signe avec son œuvre une nouvelle date du cinéma de science-fiction à grand spectacle empli d'effets spéciaux dantesques et d’explosions incroyables cependant parasité par un patriotisme américain à outrance, d’inepties physiques et de dialogues pas toujours bien sentis, le film n’est pas parfait et a certes mal vieilli mais tient encore simplement son rôle de divertisseur de foule, un très bon moment à la découverte d'ID4 à l'époque et dont je ne regrette pas d’avoir acheté mon ticket. N’est-ce pas là le rôle d’un blockbuster ?
Échec et mat.