J'ai juste pleuré... Des larmes puis du sang.
Merci Spielberg d'avoir assassiné un des héros de mon enfance. C'est ton pote Lucas qui t'a expliqué comment massacrer une trilogie, violer les âmes d'enfants des fans, et pondre une bouse ultime ?
Indiana Jones, c'est de la bande dessinée, certes, ce n'est pas non plus du grand n'importe quoi. J'ai commencé à pleurer quand Harrison survit à une explosion nucléaire en se planquant dans un frigo, j'ai commencé à pleurer du sang devant ce pitoyable final totalement hors de propos, diablus ex machina total.
Les 10 premières minutes étaient si sympathiques que je me suis mis à sourire. Et puis j'ai eu l'impression que Lucas a pris les commandes et commencé son massacre en règle. C'est mou, ça s'enchaine n'importe comment, c'est mou, le charisme a disparu, c'est mou, le fiston est inutile, c'est mou. Au fait, je vous ai dit que c'était mou ?
Bref, un drame personnel, bien plus violent que le massacre de la prélogie Star Wars, car là, je ne m'y attendais pas.