le coup de fouet de Spielberg
Alors c'est l'histoire de James Bond mais en fait c'est Indiana ; même si la scène d'intro peut induire en erreur. Et bon ben Indiana y négocie ; prend une nana en otage, renégocie, la reprend en otage, mais vu que la seconde fois ça marche pas, ben y pêtent des gueules de chinois !
Un enfant d'usine vient le sauver, et Indiana s'enfuit, prenant pour la troisième fois en otage la même personne.
Alors bon ils prennent l'avion mais là SURPRISE les pilotes sont des Mongoliens alliés aux Chinois. Et ils vont éliminer notre héros qui dort de la manière la plus simple : saboter son propre appareil pour sauter ensuite en parachute. C'est vrai qu'une balle dans la tête, c'est moins funky.
Mais bon Indiana c'est Indiana alors faut pas déconner : on se fait un 100 mètre vertical en rafting pour atterrir sur les indiens - le casting anorexique du flim- qui mènera nos amis à des plus gros indiens - et donc forcément plus méchants.
Après avoir mangé, Indiana songera au sport de digestion. Mais pas facile quand la blonde d'en face est aussi bête que pénible. Indiana ne baisera pas ; ce qui explique peut-être qu'il passera le reste du film à taper sur tout ce qui bouge (même les enfants chinois)
Bref Indiana se fait attaquer un peu par surprise ; petit combat sympa qui fera office de prélude à la distribution de roustes, puis on le retrouve rapidement à zoner dans des grottes à l'éclairage rouge un peu moche.
Finalement, après s'être fait capturer mais libéré par le gamin capturé (mais auto-libéré) il libère la nana (capturée évidemment) et tout le monde s'enfuit...
Y'a une histoire de vaudou complètement naze au milieu des roustes, mais ça empêche pas Indiana de nous offrir un beau combat contre un nouveau molosse barbu cette fois.
La fuite se fait en chariot... C'est complètement ridicule, c'est long pour rien, ça ne vaux pas la course en camion du premier opus. D'autant plus que celle-ci se termine lamentablement pour enchaîner avec le combat final sur un pont ; où la situation se met en place de manière tellement ridicule qu'on se demande vraiment si les 10 dernières minutes valent la peine d'être vues.
Alors voilà ; j'ai attendu que le méchant meurt puis j'ai éteint. Indiana, c'était vraiment mieux quand j'étais petit et innocent.