Suite à des négociations mouvementées à Shanghai, Indiana Jones, une chanteuse et un miston chinois nommé Demi-Lune se retrouvent dans un village dont une pierre magique a été volée et les enfants ont été ravis.
Tout dans ce film est sensationnel comme par exemple la scène liminaire avec les pourparlers houleux, celle où ils assolissent en canot de sauvetage avec l’avion s’écrasant sur un monticule en arrière-plan ou encore le professeur rattrapant in extremis son galurin avant qu’une pierre s’affaisse et n’obstrue définitivement la voie. Les péripéties sont toujours aussi nombreuses mais davantage ambitieuses que dans Les aventuriers de l’Arche perdue. Toute la causticité de son jeune assistant est prouvée par la réplique « Peut-être il aime les vieilles ». Les détracteurs de cet opus le jugent excessivement sinistre et violent mais j’estime que cette particularité fait son charme. Le sympathique divertissement qui n’avait basiquement nul autre intérêt que récréer se mue graduellement en chef-d’œuvre.