That’s all folk.
« Pendez-moi, j’ai défié le monde… » chante Llewyn dans la chanson qui ouvre le film. Tout est là, comme souvent chez les frères Coen, pour irrémédiablement condamner le protagoniste. Parasite,...
le 15 avr. 2014
143 j'aime
6
Créée
le 19 nov. 2013
Critique lue 328 fois
D'autres avis sur Inside Llewyn Davis
« Pendez-moi, j’ai défié le monde… » chante Llewyn dans la chanson qui ouvre le film. Tout est là, comme souvent chez les frères Coen, pour irrémédiablement condamner le protagoniste. Parasite,...
le 15 avr. 2014
143 j'aime
6
Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes session 2013, Inside Llewyn Davis est en effet un très bon cru des frères Coen qui se déguste avec délectation : un film ironique, pluvieux et hivernal, ce...
Par
le 26 mai 2013
79 j'aime
18
Nous sommes en 1961 en compagnie de Llewyn Davis que nous suivons dans cette histoire. Ce jeune homme est ce que l'on peut appeler un raté, vivant comme il peut dans Greenwich Village au gré de...
le 27 nov. 2014
72 j'aime
15
Du même critique
Fahrenheit 451 fait partie de ce que je considère comme le « trio dystopique incontournable », avec 1984 et Le meilleur des mondes. Trois romans aux univers futuristes similaires, critiques acerbes...
Par
le 31 mars 2013
1 j'aime
1
Le film commence sur une ballade folk chantée par le héros. Le jour où je réalise un film, je commencerai par une scène comme celle-là. Surtout que celle-ci est signée Marcus Mumford et que ça sent...
Par
le 19 nov. 2013
Prisoners est le genre de film qui, d’emblée, nous met face à notre conscience avec des questions du genre « qu’est-ce que j’aurais fait à sa place ? », qui m’a ramené au final de Gone baby gone...
Par
le 19 oct. 2013