Dalton va à l’université, mais il est confronté à des visions cauchemardesques.
Ce film clôt enfin l’épopée des Lambert, après dix années d’à-côtés. Patrick Wilson est promu au rang de réalisateur, mais il se satisfait d’une mise en scène désolante basée sur une profusion de jump-scares plus du tout inspirés. Néanmoins, le métrage dissèque analytiquement et efficacement les meurtrissures et les turpitudes entre un père et son fils. Bref, le metteur en scène a vainement cherché à faire la différence en abordant quelques originalités pour nous concocter un final qu’on aurait apprécié comme une apothéose.