Interstellar, ou comment Nolan m'a fait voyager plus loin que ma dernière virée en warp speed

Un trou noir au milieu du blockbuster

On s'est tous posé la question un jour : "Qu'est-ce qui se passe si je mets Matthew McConaughey, Anne Hathaway et un robot dans une fusée et que je les envoie dans un trou noir ?" Eh bien, Christopher Nolan a décidé de répondre à cette question existentielle avec "Interstellar". Imaginez "Armageddon" mais avec moins de pétrole sur les muscles de Bruce Willis et plus de cerveaux dans les combinaisons spatiales.

Nolan, le magicien des réalités alternatives

Dès le début, on est jeté dans une aventure qui vous donne l'impression de faire un saut dans un trou de ver avec un ticket de roller coaster. Nolan, ce génie, jongle avec les dimensions comme un gamin qui joue avec des Legos. L'intrigue est plus complexe que l'instruction pour assembler un meuble IKEA, mais une fois que tout s'emboîte, vous vous sentez aussi accompli qu'un Jedi ayant assemblé son propre sabre laser.

Des effets spéciaux qui vous font dire "Putain, c'est de la bombe, atomique"

Les images sont aussi époustouflantes qu'un cosplay de Deadpool à la Comic-Con. La chasse du drone indien et la séquence du conseil de classe sont visuellement orgasmiques. C'est comme si Nolan avait décidé de transformer chaque pixel en petit orgasme visuel. Le réalisateur sait comment vous chatouiller la rétine tout en vous faisant réfléchir sur l'existence de l'humanité dans l'univers.

Un festival de thématiques qui vous font dire "Ah ouais, carrément"

Toutes les thématiques Nolan-esques sont là, du temps qui se tortille comme un ver de terre sur l'hameçon d'un pêcheur intergalactique à la mort qui vous regarde dans les yeux comme si elle était votre Tinder date. Le film aborde des sujets aussi profonds que la philosophie d'un Sith dans une marée basse de Dagobah. On se croirait dans une soirée où Nietzsche, Stephen Hawking et H.P. Lovecraft discutent autour d'une bouteille de tequila cosmique.

Les acteurs, des rockstars de l'espace

Matthew McConaughey, aka l'homme qui peut rendre sexy même une équation mathématique, est au sommet de son art. Anne Hathaway et Jessica Chastain brillent comme deux étoiles dans un ciel parsemé de références geek. Même Matt Damon, qui a moins de temps à l'écran que la durée de vie d'un personnage dans "Game of Thrones", livre une performance qui vous ferait oublier qu'il est un vil traître de l'espace.

Interstellar, un orgasme cinématographique intersidéral

En résumé, "Interstellar" est un chef-d'œuvre qui vous fera crier "Eureka !" à chaque retournement de l'intrigue. Nolan a réussi à créer une œuvre d'art qui vous fait rire, pleurer et réfléchir sur votre existence, tout en vous offrant des effets spéciaux qui sont plus addictifs que le dernier DLC de votre jeu vidéo préféré. Alors, mettez votre ceinture de sécurité intergalactique et préparez-vous pour un voyage dans l'espace-temps qui vous laissera secoué et remué, comme un Martini dans les mains d'un barman extraterrestre.

Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr