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Blind fate
Adapté à de multiples reprises, le motif de l’homme invisible est un fantasme à double tranchant, sur lequel Verhoeven lui-même s’est cassé les dents : l’occasion d’un exercice de style presque...
le 22 sept. 2020
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Invisible Man – Quand l’horreur joue à cache-cache
Invisible mais pas oubliable
Quand tu mates Invisible Man, tu réalises que le mec qu’on voit jamais fout plus les jetons que ton voisin qui t’espionne derrière ses rideaux. Leigh Whannell revisite le mythe de l’homme invisible avec une combinaison high-tech qui ferait passer Tony Stark pour un bricoleur du dimanche.
Cecilia, héroïne en mode survie
Elisabeth Moss, alias Cecilia, te balance une performance qui te colle des frissons jusqu’au fond du slip. Entre paranoïa et pure badassitude, elle te montre ce que ça fait de se battre contre un fantôme qui a plus de présence qu’un ministre en campagne.
Le thriller qui respire… un peu trop parfois
Le film joue avec ton angoisse comme un chat avec une souris. Mais soyons honnêtes, on aurait aimé un peu plus de tension qui te serre la gorge, histoire de vraiment te donner l’impression qu’il est derrière toi… ou pas.
La tech au service de l’angoisse
La combinaison invisible, c’est comme si le mec avait chopé une promo sur le matos de Black Mirror. Ça modernise le concept à mort, et franchement, ça passe crème. Plus de potions cheloues, on est en 2020, bordel !
Un concept qui frappe, mais pas toujours au bon endroit
Le film s’en sort bien niveau idée et exécution, mais il manque parfois un peu de punch. Quelques scènes auraient mérité un upgrade niveau sueurs froides. On veut du Hitchcock 2.0, pas un épisode long de NCIS : Fantômes à Malibu.
Conclusion : Invisible mais bien réel
Invisible Man, c’est la preuve que même un thriller qui se la joue discret peut frapper fort. Pas parfait, mais assez malin pour te garder accroché à ton siège. Elisabeth Moss porte le film sur ses épaules et te rappelle que, parfois, ce qui te hante le plus, c’est ce que tu ne vois pas.
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il y a 4 jours
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