La Galice jusqu'à l'hallali
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Ismael, 8 ans, prend le train de Barcelone vers Madrid pour rencontrer son père biologique qu'il n'a jamais vu. Marcelo Pineyro n'est pas un inconnu, le cinéaste argentin a signé Kamchatka, La méthode et Les veuves du jeudi, entre autres. De retour en Espagne, Ismael est de loin son film le plus sentimental, explorant les thèmes de la paternité, du pardon et des secrets de famille. Le film le fait avec pudeur et conviction malgré un scénario convenu qui fait de tous ses personnages des êtres blessés par la vie, le plus souvent par leur faute, par peur, lâcheté ou incapacité à aimer simplement. Le récit navigue entre plusieurs pistes cherchant avant tout la réconciliation après les erreurs du passé. Les dialogues manquent de mordant, l'interprétation peu convaincante (même Sergi Lopez est moyen, ce qui n'est pas son habitude) et pourtant quelque chose de vrai bien que fragile se dégage de ce film inabouti.
Créée
le 28 mai 2018
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