Tout ce qui vrille
Convenu, artificiel, maladroit, lourd... Je suis d'autant plus sévère que j'avais beaucoup aimé à l'époque le premier film du duo Géraldine Nakache - Leïla Bekhti. Après deux films suivants aussi...
Par
le 17 août 2020
11 j'aime
7
Comédie sympathique. J'y croyais pas trop, j'avoue.
L'intrigue se laisse suivre ; le développement n'est pas très original mais l'univers, certes pas assez approfondi, offre quelques situations amusantes. Les personnages sont correctement écrits et leurs relations conflictuelles sont bien exploitées ; la déception arrive surtout en fin de métrage, avec une fin tout prête faisant presque fi de tout ce qui a précédé, facile et ma venu.
La mise en scène fonctionne, le découpage est suffisamment efficace, la caméra étant bien située pour renforcer les gags mais pas particulièrement travaillée pour le reste, le rythme pourrait être un peu plus soutenu (beaucoup de pauses dans le jeu des acteurs) mais reste en état suffisant pour provoquer quelques rires au bon moment. Le duo d'actrices fonctionne très bien, de quoi me donner envie de voir les précédentes collaborations de ce tandem féminin ; Timsit fait son Timsit larmoyant comme il le fait si bien, il fait aussi un peu le clown, c'est chouette de le revoir dans un film potable.
Bref, ça se regarde.
Créée
le 29 févr. 2020
Critique lue 382 fois
2 j'aime
D'autres avis sur J'irai où tu iras
Convenu, artificiel, maladroit, lourd... Je suis d'autant plus sévère que j'avais beaucoup aimé à l'époque le premier film du duo Géraldine Nakache - Leïla Bekhti. Après deux films suivants aussi...
Par
le 17 août 2020
11 j'aime
7
Bon alors autant vous le dire d'emblée, j'ai beau être très cinéphile, j'ai toujours choisi avec soin les comédies françaises que j'ai visionné. Non, ce n'est pas ce que je préfère dans le paysage...
Par
le 1 sept. 2019
6 j'aime
Je suis allé voir ce film, moi et ma compagne, sans savoir ce que c'était, je n'avais pas vu l'affiche, ni la bande-annonce, ni qui jouait dedans, on est y allés sur la simple foi du titre (qui est...
Par
le 5 oct. 2019
5 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
110 j'aime
55