La Galice jusqu'à l'hallali
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Une galerie de personnages pris dans un événement historique : l’annulation de la fête du mouton de 1996 au Maroc. Franc-tireur du cinéma du Maghreb, Hicham Lasri enfonce le clou avec Jahilya, dernier volet de sa trilogie du "chien". Des bribes d'intrigues dans un long-métrage qui refuse la linéarité et qui convoque aussi bien l'absurde que la provocation. Avec l'exemple des cafards qui aimeraient "vivre leur vie plutôt qu'être écrasés par les hommes" et qui symbolisent l'humiliation et l'écrasement par de plus puissants qu'eux. A l'image de l'existence des pauvres humains que montre le film en une suite de vignettes remarquablement mises en scène mais dont la narration éruptive et erratique a du mal à captiver pendant 90 minutes. Singulier mais déconcertant.
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Créée
le 12 avr. 2020
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