La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
⚠️ Une maintenance est prévue ce Mercredi 4 décembre de 9h00 à 13h. Le site sera inacessible pendant cette période.
Blessé en Corée, un militaire américain tombe amoureux de son infirmière japonaise, l'épouse et revient vivre avec elle, dans sa famille, en Californie. Film un peu oublié de la carrière de King Vidor, Japanese War Bride, malgré une intrigue prévisible, ne démérite pas, bien au contraire. Les cicatrices de la seconde guerre mondiale ne sont pas encore refermées et le film traite sans faux-semblant et avec courage d'un certain racisme anti-japonais qui a perduré en Amérique durant une longue période. Pas étonnant qu'il n'ait pas eu beaucoup de succès à l'époque de sa sortie. Don Taylor manque d'épaisseur dans le rôle principal masculin et le film repose surtout sur les épaules de l'excellente actrice sino-japonaise Shirley Yamaguchi, vue auparavant dans Scandale de Kurosawa et La maison de bambou de Fuller. Sur un thème voisin, le Sayonara (1957) de Joshua Logan, avec Marlon Brando lui est largement inférieur.
Créée
le 6 août 2021
Critique lue 21 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
72 j'aime
13