Je viens de finir de regarder "Je ne suis pas un salaud".
Alors salaud je ne sais pas, mais ce long métrage est une belle illustration de ce à quoi mène l'envie, la frustration. L'impossibilité à faire place à une quelconque rédemption.
Force est de constater que la force du film est le peu de politiquement correct, une lourdeur d'ambiance portée par Nicolas Duvauchelle, quand il en appelle à ce qu'il m'évoque de Patrick Dewaere.
Un bon film sur une descente aux enfers avec une rampe toujours présente mais jamais saisie. Quand l'orgueil et l'alcool viennent arroser le terrain de la jalousie, l'herbe ne repousse pas.
Bonne séance :)