Si tu avances quand je recule...
...comment veux-tu, comment veux-tu que je....
En gros, ça résume, et c'est là tout le drame.
Ce film aurait pu être beau, voire très beau, si le scénario n'avait pas tenu sur un ticket de métro à moitié déchiré, froissé, oublié au fond d'une poche et qu'on ressort un soir de biture avec l'idée saugrenue d'en faire un long métrage. On a connu Gainsbourg plus brillant dans l'art délicat de la provocation. Dommage ! Reste quelques soupçons de beauté : Birkin, Dallessandro, quelques plans bien tournés, et une musique signée par l'homme à tête de choux...