Voici le brave gars Charles Lee Ray alias Chucky, le compagnon de jeu idéal, ce nom de Charles Lee Ray, est inspiré de trois tueurs tristement célèbres : Charles Manson, Lee Harvey Oswald et James Earl Ray. C'est en 1988, sous la plume de Don Mancini et sous la direction du cinéaste Tom Holland (Vampire, vous avez dit vampire ?, Rock Paper Dead) également scénariste que Chucky entame sa longue carrière horrifique de huit chapitres (Chucky, la poupée de sang en 1990, Chucky 3 en 1991, La Fiancée de Chucky en 1998, Le Fils de Chucky en 2004, La Malédiction de Chucky en 2013, Le Retour de Chucky en 2017, Child's Play : La Poupée du mal en 2019) allant même jusqu'à une petite apparition dans le Steven Spielberg de 2018, Ready Player One pour peut-être fêter ses trente ans de carrière de la saga commerciale à succès.
Ce qui au départ est une idée de thriller fantastique réellement farfelue va devenir l'un des slashers movies les plus appréciés des fans du genre. Le serial killer Charles Lee Ray transfère son âme maudite, grâce à un rituel vaudou, dans une poupée "Good Guys" (Brave Gars), le dernier jouet à la mode. Chucky fait le bonheur du petit Andy, six ans, mais la poupée révèle bientôt sa vrai nature maléfique, multipliant les victimes...
Salut, je m'appelle Chucky et je suis ton ami pour la vie. Hidey-ho !
Au casting de ce Boogeyman en plastique a ne pas mettre entre toutes les mains, nous retrouvons Catherine Hicks (À la recherche de Garbo, Turbulences à 30 000 pieds), Chris Sarandon (Un après-midi de chien, Safe), Alex Vincent (Wait Until Spring, Bandini, Le Retour de Chucky), Brad Dourif (Vol au-dessus d'un nid de coucou, Priest) et Dinah Manoff (Grease, Zigs).
Bonsoir sale con !
Charles Lee Ray est un tueur en série psychopathe qui, en tentant d'échapper aux forces de l'ordre, est tué dans un magasin de jouets. Avant de mourir, il utilise la magie vaudou pour placer son esprit dans une poupée. La mère d'Andy Barclay, un petit garçon, lui offre cette poupée qui imite le physique d'un garçonnet roux en salopette. Il s'agit d'une poupée "Brave Gars", qui fait fureur auprès des jeunes à cette époque, et qu'Andy souhaitait posséder...
Merci puissant Damballa pour la vie après la mort.
Sous ses airs de série B mariant avec habilité suspense, horreur et humour, Jeu d'Enfant apparaît également comme une petite critique de notre société de consommation. Tom Holland égratigne au début de l'œuvre l'industrie du jouet et confère à ce film d'épouvante un aspect assez ludique et humoristique. Les effets spéciaux de l'époque du magicien des effets chocs Kevin Yagher sont toujours bluffant. Et ce monstre haute comme trois pommes reste la poupée à priori inoffensive dont la violence et la determination font passer bon nombre de tueurs en série cinématographique pour des enfants de coeur.
Ahhh, coucou c'est moi !