La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Kurdistan turc. Jîn, 17 ans, a fui son unité combattante et se cache dans la montagne et la forêt. A l'harmonie de la nature, Erdem oppose la sauvagerie des hommes. Jîn est le symbole de l'innocence protégée par les animaux : ours, cerf, chat sauvage, serpent, tortue, ... tous menacés par la guerre. Silence des bois, fracas des armes : le salut, temporaire, ne passe pas par la civilisation où la jeune fille ne trouve que bestialité. Beau film, lent et contemplatif comme les précédents du cinéaste turc, qui se regarde comme un conte sur la barbarie et l'inconséquence humaines.
Créée
le 28 mai 2018
Critique lue 312 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
72 j'aime
13