Regarder Jupiter Ascending, c'est un peu comme se pointer à un rencard avec une gonzesse particulièrement canon.
Durant les premiers instants, on est plutôt excité, on se dit qu'on va passer une bonne soirée, voire plus qu'une soirée.
Et puis lorsqu'elle se met à parler, on est tout de suite refroidi. Ah merde, elle est conne. Même très conne.
Mais bon, elle est vraiment canon donc faut pas abandonner trop vite, histoire de réussir à trouver au moins un point d'intérêt commun.
Au bout de 2 heures de discussion sans intérêt, sans intelligence, sans humour, on abdique, on passe notre tour en se disant tant pis pour la partie de jambes à l'air, on a déjà perdu trop de temps.
Cela dit, la gonzesse s'appelait Pamela, fallait se douter quand même que ce serait pas bien glorieux.