Colin Trevorrow associe un Chris Pratt en plein boum à une Bryce Dallas Howard que l’on avait pas beaucoup vu depuis Spider-Man 3.
Si le cliché de l’homme de terrain confronté à la bureaucrate surbookée peut paraître léger de prime abord, on se rend très vite compte que le scénario utilise cette situation d’une manière assez drôle.
La relation ambiguë entre les deux principaux personnages parsème l’intrigue principale de moments plus doux qui sont souvent les bienvenus.
Au-delà de ces derniers, un multitude de personnages plus ou moins secondaires aide cette histoire à prendre vie sans jamais perdre de vue l’objectif premier : la chasse que mène l’Indominus Rex…