Jurassic World se savait attendu, reprendre le flambeau d'une des saga les plus appréciées de l'histoire du cinéma et initié par le grand Steven Spielberg, la tâche s'annonçait ardue.
Spielberg ne réalise pas le film mais on sent qu'il a activement participer à la part des effets spéciaux: déjà dans le premier Jurassic Park, les graphismes des dinosaures étaient impressionnant mais alors là, on a l'impression que ces dinosaures ont été sur le tournage avec les acteurs pour de vrai tant le moindre détail à été soigner pour l'esthétique du film.
Du point de vue de l'histoire on retrouve l'histoire classique qui avait fait le succès du premier film: un parc avec des dinosaures, mais la différence avec le premier c'est que le parc est véritablement en marche et qu'il accueille plus de 20000 personnes. De plus, les scientifiques ont également réussi à mixer des dinosaures entre eux pour en faire un encore plus fort que les autres et, par un suspens total, devient totalement incontrôlable et plonge le parc dans le chaos. Alors certes, le scénario est bateau mais ce qui est très intéressant dans ce nouvel opus, c'est l'importance de l'homme face à ces dinosaures tous plus dangereux les uns que les autres: C'est le premier film de la saga où l'homme a une aussi grande importance face aux grands lézards.
Côté casting, des nouvelles têtes apparaissent à l'écran et pour cause, le film se passe 20 ans après le premier volet de Steven. Chris Pratt, dont la carrière est en train d'exploser, joue le rôle principal et se voit donner la réplique par Bryce Dallas Howard qui paraît vraiment cruche au début du film mais qui finalement parvient à rester crédible malgré le fait qu'elle court en talon tous le long du film.
Les rôles secondaires sont attribués à deux jeunes de l'avant garde hollywoodienne mais également à notre frenchy national Omar Sy, collègue de Chris Pratt.
Un nouvel opus plein de promesse, qui fait la part belle aux effets spéciaux et qui montre que l'homme moderne aurait put tenir tête aux dinos, on attend la suite avec impatience et si l'on croit les rumeurs, Chris Pratt auraient signé pour 37 suites. Affaire à suivre...