Plus qu'une nouvelle suite, ce Jurassic World est surtout (à mes yeux, du moins) un bel hommage au premier film de Spielberg. C'est plus des easers eggs qui sont dissimulés ici ou là, mais bien des références à la pelle, plus ou moins subtiles. Mention spéciale au "dépenser sans compter".
On a même droit au faux-racord référence lors de la scène de la volière avec un ravin qui ne gêne pas la grosse bêbête du film.
Pour le reste, Jurassic World fait le taf' qu'on attend de lui. Ni plus, ni moins. Omar Sy est relativement convaincant et pas charcuté au montage, ce qui est un plus. Et (spoiler) reste en vie à la fin du film, ce qui est pas gagné à Hollywood quand on est le seul personnage noir d'un film (/spoiler).
Mention spéciale à Vincent D'Onofrio, très bon dans le rôle de l'enfoiré de service