"Avez-vous prévu de mettre des (vrais) dinosaures, dans votre parc à DINOSAURES? Hein? Hehe. Haaaa!"

Par OhCaptainMyCaptain.


Voici venu le quatrième du nom dans la grande saga du Jurassic. Etant fan depuis le premier du nom (oui pendant longtemps mon premier film préféré de Disney était Dinosaures, avec Jamel Debbouze ça rattrape non ?), j’ai à mon époque collectionné toutes sorte de dinosaures comme si c’était des Pokémons, remplissant ma chambre à ras-bord, figurine, statuette et machines. Mes sœurs racontent souvent que c’est le premier film (le premier du nom) qu’elles sont allées voir avec mon père au cinéma (1993), et je dois avouer qu’il doit s’agir d’un de mes premiers films. Le fameux T-Rex et le grand héros malgré lui Alan Grant auront su marquer mon enfance…


Je dois avouer que pour moi, le troisième volet des aventures des méchants dinosaures est mon préféré, et ceux qui suivent le site le savent déjà. Les fans le reniant, mon avis va vite se retrouver en minorité. Pourtant, c’est celui qui est le plus fidèle aux dinosaures et qui leur rend le plus hommage. En prenant partie pour un « survival horror », le réalisateur a complètement intégré ce qui était et faisait les dinosaures. Et en appliquant au passage les dernières trouvailles paléontologiques, à savoir les plumes sur les vélociraptors et le grand Spinosaure au sommet de la chaîne alimentaire. Et en faisant d’Alan un personnage héros, sous-exploité dans Jurassic Park et inexistant dans le Monde Perdu, le film se donnait les clés de la réussite.


Dans les épisodes précédents, John Hammond et son entreprise InGen découvre qu’il peut récupérer le sang des dinosaures au sein des moustiques préhistoriques coincés dans l’ambre. Il construit deux parcs basés sur le concept de zoos de dinosaures, sur deux îles jumelles au large du Costa Rica, Isla Nublar, le parc en lui-même, et Isla Sorna, qui sert de réserves et de test. Après la visite des paléontologues Alan Grant (Sam Neil) et Ellie Sattler (Laura Dern) et du mathématicien Ian Malcolm (Jeff Goldblum) entre autres, le Tyrannosaurus-Rex, raptors et autres dinosaures parviennent à sortir de leur enclos à cause d’une panne d’électricité que l’ingénieur Ray Arnold (Samuel L. Jackson) n’a pas réussi à maîtriser. Les héros principaux réussissent à sortir de l’enfer. Dans le Monde Perdu : Jurassic Park, quatre ans plus tard, InGen décide de construire un parc sur le continent à San Diego. Une équipe menée par Ian Malcolm est envoyé sur l’île pour constituer un dossier pour contrer le projet. Après une bataille acharnée entre les deux équipes, un T-Rex adulte est embarqué vers le continent. Le roi des dinosaures gagnera son ticket pour faire son tour en liberté dans un San Diego apeuré histoire de faire gonfler le box-office puis est renvoyé sur l’île. Dans Jurassic Park III, un père et son fils sont porté disparus après une virée un peu trop proche des îles de dinosaures. Sa mère et son nouveau compagnon engage Alan Grant et sa nouvelle équipe de paléontologues pour aller récupérer leur fils. Après avoir affronté le T-Rex, un Spinosaure et des vélociraptors, l’équipe amputée de nombreux membres réussit à s’échapper après avoir retrouvé l’adolescent.


Venons-en à Jurassic World. La promotion de Jurassic World aura été plutôt timide dans un premier temps (voir notre article précurseur en la matière), avant de bombarder Internet et télévision. Nos confrères ayant tirés des plans sur la comète ont immédiatement déduit des premières images du film qu’il s’agissait d’un reboot. Alors, reboot ou sequel à la trilogie ?


Dans un futur proche, après la mort de John Hammond, InGen rachetée par Simon Asrani, milliardaire indien, a promis au créateur de construire un parc d’attractions fonctionnel basé uniquement sur le plaisir et non pas sur le profit. Après une ouverture de parc avec un minimum de dinosaures (8 espèces, peu dangereuses), le zoo réussit à s’étendre et à y installer en toute sécurité les grands prédateurs. Manèges à sensations, salle de haute technologie, dressage des raptors comme des otaries par l’ancien Marine Owen Gady (Chris Pratt), divertissements pour les enfants comme monter sur le dos des bébés triceratops et amusement auprès des bébés diplodocus. Mais bientôt, le public se lasse et les dinosaures ne suffisent plus. Claire Dearing, (Bryce Dallas Howard), PDG du Parc, financière dans l’âme, aidée par le chef de laboratoire d’Hammond, Docteur Wu (BD. Wong), trouve l’idée dangereuse de mixer l’ADN de plusieurs dinosaures pour créer un animal unique, l’Indominus-Rex, mélange de T-Rex, de vélociraptors, de seiche et de grenouille. C’est à partir de là que les ennuis débutent, alors que les neveux de Claire passe la semaine au Parc, d’autant que Vic Hoskins (Vincent d’Onofrio), chef de la sécurité, tourne dangereusement autour des vélociraptors dressés par Owen pour en faire des armes de guerre.


Comme vous l’aurez compris à la lecture du synopsis, ce Jurassic World, aka Jurassic Park 4, est bien dans la suite logique de la trilogie originale, de par la mention régulière de John Hammond et du généticien Wu. Mais premier problème à souligner, puisque si le film se veut l’héritier direct du numéro 1, le réalisateur donne un peu l’impression de faire une croix sur les évènements du 2 et du 3. Ce n’est pas un mal de zapper le 2, tant scénaristiquement bancal, mais sauter les événements du 3 relève d’une erreur plutôt grossière. D’autant que jamais le film ne fera mention d’Alan Grant et de Ian Malcolm, alors que ceux-ci étaient les plus farouchement opposés à l’ouverture d’un Parc de dinosaures. Comment justifier alors une ouverture plutôt tranquille d’un parc d’attraction pour le grand public sans aucune contestation de leur part ? Plutôt léger comme entrée en la matière.


Pour faire simple, Jurassic Parc 4 est un peu un Jurassic Park 1 coté scénario, avec du Jurassic Park 2 pour son surplus de budget, et du Jurassic Park 3 pour son travail scénaristique un poil plus poussé, et une touche de noirceur et de violence. Le concept se voulant au plus proche du premier volet, le film peine à décoller et à se démarquer. L’ouverture est longue et lente, peu d’évènements valent vraiment le coup (hormis les deux longs dialogues entre Owen et Hoskins : l’avenir des dinosaures en « agent de sécurité », belle idée parfaitement développée ; et entre Owen et Claire : le passé des dinosaures, leurs psychologie, leurs manières d’agir, qui permet au passage d’expliquer les incidents des trois premiers de par l’isolation des animaux dans les premiers temps d’apprentissage de la vie). Le tout en exposant les passages obligés de chaque opus, comme un cahier des charges dont on voudrait se débarrasser le plus rapidement, la meute des Gaimimus, les tricératops, les dinosaures malades/blessés, les enfants, les véhicules avec la tête à l’envers…


A partir du deuxième tiers, le film s’emballe mais on ne peut pas s’empêcher de croire que seul l’intérêt d’un dinosaure OGM porte le film, de par les idées innovantes qui en découlent, parfaitement réalisées cela dit. Le mieux dans tout ça, c’est que le film intègre très bien que la création d’un dino hybride est un peu de série B et money-money, ce qui lui permet d’anticiper la réaction d’un spectateur peu scrupuleux en dénigrant directement dans les dialogues le coté too much. Mine de rien, cela permet d’accepter l’idée tout en douceur. De même que le film permet de tirer sur la corde sensible et de faire remémorer ses heures de gloire en allant piocher dans des éléments du premier Jurassic, portés par une musique magnifique, réadaptation du chef d’œuvre de John Williams, par Michael Giacchino en plus glauque mais en plus enfantin à la fois. Fascinant. Rien que ce petit effet, cela booste une note qui aurait pu être morose. Sans les maladresses de réalisation du réalisateur sur la fin, le film aurait frôlé la perfection.


Parce que oui, Colin Trevorrow est un fan du premier du nom, et le montre dans sa prestation. Une réalisation réussissant à mêler le génie de Spielberg à certains moments, tirant parfois sur le Michael Bay pour un goût un poil trop prononcé pour les explosions, tout en laissant planer des maladresses, parfois attendrissantes, parfois tellement rageantes qu’elles font sortir du film. Je ne mentionnerai pas la bataille finale, pourtant vraiment bien amenée, qui finit sur une erreur vraiment indigne. Certains dinosaures sont un peu désacralisés, comme le T-Rex dans un premier temps, mais aussi les tricératops et les diplodocus, mais on en voudra pas au réalisateur, les trois films sont passés par là, notamment et surtout le III avec l’énorme dérouillée que se prend le T-Rex face au géant Spinosaure.


Certains ont hurlé devant le concept de dressage des vélociraptors, considérés comme les dinosaures les plus dangereux, il convient de rester mesuré. D’abord parce que ce sont scientifiquement les plus intelligents. Si c’est le cas ils sont à même à comprendre qu’une coopération avec l’homme peut être bénéfique, mais surtout parce que le tout est rondement bien mené : le soigneur Owen est considéré par les raptors comme le mâle dominant de la meute, ce qui explique le lien d’affection les liant, mais ça ne les empêche pas d’essayer de le manger quand il a le dos tourné. Quant à leur trop plein d’affection, cela n’est pas totalement incohérent. Si les loups n’avaient pas montré suffisamment d’affection envers leurs premiers maîtres, les chiens ne seraient jamais apparus. Mais malheureusement les choses s’emballent et le réalisateur va sûrement trop loin avec sa trouvaille, au point de faire sortir le spectateur de son film. Inévitablement, ce genre d’idée doit être bien adaptée et très mesurée, sous peine de se décrédibiliser totalement.


Les effets spéciaux, point majeur du film, sont une franche réussite. J’avais dit à la sortie de la remasterisation au cinéma du premier volet (en 2013) que le film n’avait pas vieilli, mais force est de constater que Jurassic World réussit le pari de faire encore mieux. Avec le surplus de budget, le réalisateur s’est même permis les dinosaures en hologramme ! Dans tous les cas, les images de synthèse sont encore plus réalistes ici, donnant encore plus réel les dinosaures. Bluffant. On peut remercier Legendary Pictures, déjà en charge de Godzilla l’année dernière sur ce point ! Malheureusement, ce n’est pas le cas des marionnettes lors des scènes immobiles. Pas à cause de la conception, vraiment très belles. Mais plutôt à cause de la haute définition. Oui oui, pour cette raison. Si les marionnettes des années 90 faisaient si réelles, c’est à cause du grain de l’image de la pellicule ancienne. Aujourd’hui, avec une image très nette et lisse, la moindre imperfection se voit directement. Et le résultat est que certaines ont parfois à certains endroits des aspects de cartons pâtes. Dommage !


Et quitte à pousser un coup de gueule sur l’aspect des dinosaures, pourquoi avoir retiré les plumes sur les vélociraptors ? Inadmissible ! Bon d’accord, ce n’est peut-être qu’un détail, mais c’est rageant, le III les ayant parfaitement intégré sans nuire au design choisi dans les deux premiers. Le problème n’est ici pas tant qu’il le fasse, mais surtout la raison. Avec le tôlé général que les plumes avaient provoqué, il a peut-être voulu se remettre les fans dans la poche. Changer pour raison commerciale un aspect scientifique, c’est plutôt regrettable. Et dire qu’en plus des lignes de dialogue entre le généticien et l’actionnaire du Parc critique justement ce genre d’effets… Et dans un point de vue totalement personnel, je ne suis pas totalement fan du design de l’Indominus-Rex. Les mauvais côtés de chaque espèce parente et un peu de Spinosaure… Mais c’est peut-être tout à fait volontaire, histoire de créer un dinosaure vraiment hideux. Amrani ne dit-il justement pas : « faire peur aux enfants ? Non, elle va faire cauchemarder les parents ! » ?


Je dois bien admettre que je suis très dur avec le film. Le film reste un Jurassic Park, dans tous les domaines, et réussit parfaitement sa tâche. Un peu comme avec Transformers 4 : il propose ce que l’on veut voir, il n’est donc pas légitime de lui donner une mauvaise note. D’autant qu’il fait vibrer l’âme des plus anciens fans avec des références sans trop les appuyer, à l’image de ce qu’avait réussi Sam Mendes dans son Skyfall. Il donne donc tout ce que le grand public et les enfants (en vrai ou dans leur tête) veulent voir : des dinosaures, de l’action, de la tension (de la peur serait exagérée, même si les plus sensibles peuvent avoir des difficultés), de l’humour, et parfois des intestins répandus sur le sol de façon soft (en étant plus, disons, explicite que dans le premier qui masquait ses limites techniques par des plans assez subjectifs, coucou petite chèvre et petite vache !). Et finalement, toutes les grosses erreurs ne découlent que de l’inexpérience du jeune réalisateur. Et par mon attachement peut-être excessif à Jurassic Park III, qui me fait souligner des erreurs que certains ne verraient ou ne relèveraient peut-être pas. C’est pour cette raison que Jurassic Park III est un peu plus développé dans cette critique, histoire de comprendre le contexte dans lequel le film sort, près de 15 ans après la sortie du dernier volet.


Décidément, la carrière de Chris Pratt aura été lancée dans les étoiles par les Gardiens de la Galaxie. Fini les paléontologues, il faut des soigneurs issus de l’Armée, et pas n’importe laquelle, des Marines de l’armée américaine pour affronter des dinosaures génétiquement modifiés. Il tient plutôt bien son rôle, même si ce n’est pas des plus compliqués, tirant parfois sur son rôle de Star-Lord, tout en étant beaucoup plus sensible et humain. Cela ne l’empêche pas de sortir des petites blagues bien senties. Les rumeurs l’associant à Indiana Jones dans un possible reboot devrait enfler, tant on ne peut pas s’empêcher d’y penser en le voyant évoluer dans la jungle de l’île... Mais son rôle ne serait pas sublimé s’il n’était pas accompagné par Bryce Dallas Howard. La tension amoureuse entre les deux est portée par une belle complicité et complémentarité, rarement vu au cinéma depuis le duo Gordon-Levitt – Deschanels. Ce qui permet de beaux moments d’humour attendrissant, calmant un peu la tension. Pour sa part, l’actrice gère parfaitement la transition de la dirigeante cherchant avant tout le profit vers une femme forte un peu paumée au cœur de l’action sans pouvoir se l’avouer (symbolisé par ses vêtements quelque peu…réversibles !). Rien d’original mais en tout cas très bien joué. D’autant que faire de l’origine des dinosaures modifiés par une femme donne un impact tout particulier avec les théories des psychologues... Vincent d’Onofrio fait éclater jour après jour son talent au cinéma. Après son rôle touchant dans Le Juge, et sa prestation hallucinante et effrayante du Caïd dans Daredevil, il tient ici le rôle de chef de la sécurité tout en ambiguïté. Sans trop s’avancer, on pourrait même admettre qu’il est plus apeurant que l’ensemble des dinosaures, de par le jeu intérieur de l’acteur d’origine italienne. Omar Sy est encore malheureusement sous-exploité par nos amis les américains, tant son rôle était intéressant sur le papier (soigneur-en-second du Parc) et qu’il n’est finalement là que pour placer quelques-uns de ses rires les plus communicatifs. Gageons que s’il y a un Jurassic Park 5, il sera plus présent !


Pour le reste, les prestations sont plutôt anecdotiques, entre des enfants un peu énervants bien que plus adaptés aux jeunes de notre époque (Ty Simpkins, le gamin insupportable dans Iron Man 3, et le plus vieux, Nick Robinson, dont la prestation fait penser aux débuts de carrière de Dane DeHaan. Espérons-lui la même carrière !), un actionnaire indien (Irrfan Khan) qui peine à trouver sa place au milieu des trois autres, et un Docteur Wu (BD Wong) au niveau de sa prestation dans le premier, quoique bien plus présent et plus convaincu par son travail de généticien, même si sa prestation fait beaucoup penser au revirement de caractère qu’a connu Ian Malcolm (comic-relief du premier et héros principal du second)… Mais même si c’est très commun et très facile, je n’ai pas pu m’empêcher de m’identifier à ce petit garçon connaissant le nom des tous les dinosaures par cœur et multipliant les figurines dans sa chambre, et à son pendant adulte ingénieur en chef du Parc (avec son magnifique T-shirt vintage), dont la prestation tendait vers son homologue de Jurassic Parc (Samuel L. Jackson). On notera au passage le petit caméo humoristique du célèbre show man américain Jimmy Fallon.


La morale de l’histoire ? L’homme pourra faire ce qu’il veut avec la nature, elle gagnera toujours. Ou dans un langage jurassiquien « La Vie trouvera toujours son chemin » ! Au final, le film tente un remake de Jurassic Park premier du nom avec des idées innovantes, plutôt élégantes sur le papier, mais beaucoup trop de maladresses inacceptables à la réalisation. Il reste cependant un film familial, bien que plus violent que Jurassic Park et Le Monde Perdu : Jurassic Park, avec des touches d’humour agréable, des moments touchants, ce qui excuse quelques errements dans tous les domaines. En fait, sans ces points noirs, Jurassic World est le film qu’aurait dû être Le Monde Perdu : Jurassic Park à son époque. Divertissant, jouissif, donnant des frissons. Mais avec le renouvellement rafraîchissant que Jurassic Park III avait insufflé, on pouvait cependant attendre un petit plus dans cet opus.


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le 8 août 2015

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